Hausse des frais bancaires en 2025

En 2025, le secteur bancaire en France connaît une hausse significative des tarifs et des frais bancaires. De nombreux consommateurs s’interrogent sur les causes de cette augmentation et les moyens de la limiteur. Les évolutions économiques, l’inflation grandissante au niveau de la zone euro et l’émergence de nouveaux services de paiement ont contribué à remodeler en profondeur le paysage de la banque de détail. Dans ce contexte, les établissements de crédit ajustent leurs grilles tarifaires, ce qui peut avoir un impact direct sur le budget mensuel et annuel de chaque client. Que vous soyez utilisateur de carte bancaire Visa ou Mastercard, client d’une banque en ligne ou d’une banque traditionnelle comme BNP Paribas ou Crédit Agricole, vous risquez de constater une hausse des prix de vos services de paiement, notamment les frais de tenue de compte ou le coût annuel de votre carte.

Hausse des frais bancaires en 2025

Les études annuelles publiées par Panorabanque et MoneyVox, ainsi que l’enquête menée par l’association de consommateurs CLCV, mettent en avant des écarts parfois importants entre les différents établissements. Elles soulignent également l’importance de comparer les offres, car le montant maximum que l’on peut payer varie selon le type de carte (Visa Classic, Visa Premier, etc.), l’option de débit immédiat ou différé et les services annexes comme l’assurance ou les retraits dans les DAB hors zone euro. Pour aider chaque consommateur à trouver la banque la moins chère et éviter les mauvaises surprises sur sa facture, il est primordial de s’informer sur les frais bancaires, de décrypter la politique tarifaire de chaque établissement et de comprendre l’impact de l’inflation sur les coûts. Découvrons à présent les grandes tendances de cette hausse des tarifs en 2025 et les solutions pour limiter vos dépenses.


Les frais bancaires en 2025

La hausse des frais bancaires en 2025 est un phénomène qui ne laisse aucun consommateur indifférent. Plusieurs facteurs contribuent à cette augmentation, notamment l’inflation persistante au sein de la zone euro et la nécessaire adaptation des banques de détail à de nouvelles exigences réglementaires et technologiques. Les établissements de crédit, qu’il s’agisse de banques en ligne ou de banques traditionnelles, revoient ainsi leurs grilles tarifaires pour couvrir les coûts supplémentaires liés à la modernisation de leurs infrastructures, aux moyens de paiement numériques et à la hausse des charges de fonctionnement.

Selon l’étude annuelle publiée par MoneyVox, la quasi-totalité des banques populaires et des grands groupes comme BNP Paribas, Crédit Agricole ou Crédit Mutuel ont déjà annoncé des hausses des tarifs pour l’année 2025. Cette situation entraîne un impact direct sur les frais de tenue de compte, les cartes de paiement (Visa ou Mastercard), les frais de découvert bancaire et les coûts de retrait en DAB hors zone euro. Les clients constatent parfois des écarts importants d’un établissement à l’autre, soulignant la nécessité de comparer attentivement les offres avant de souscrire un service bancaire.

Dans le détail, on observe une progression du coût annuel d’une carte Visa Classic de l’ordre de quelques euros à plusieurs dizaines d’euros, selon le type de forfait ou de formule proposée. Les frais de retour NPAI (courrier non distribué) et les frais de gestion courante augmentent également, tout comme le prix des services annexes tels que les virements instantanés ou les retraits hors réseau. L’association de consommateurs CLCV estime que cette hausse généralisée pourrait se poursuivre dans les prochaines années, en raison de l’inflation, mais aussi des évolutions technologiques qui nécessitent des investissements conséquents.


Quelles banques augmentent leurs tarifs ? 

En 2025, il devient crucial de se pencher sur la politique tarifaire des établissements de crédit pour identifier les banques qui augmentent le plus leurs tarifs. D’après une enquête récente menée par Panorabanque, l’augmentation touche principalement les grandes banques de détail, mais aussi certaines banques en ligne. BNP Paribas (parfois orthographié Pariba), par exemple, a confirmé une évolution à la hausse de plusieurs de ses services de paiement, comme le coût d’une carte bancaire Visa Premier ou Classic, ainsi que les frais de tenue de compte. Le Crédit Agricole et la Banque Postale présentent également des révisions tarifaires notables, souvent justifiées par l’inflation et la nécessité d’adapter leurs infrastructures à la demande croissante de services en ligne.

De plus petites banques régionales ou mutualistes, telles que certaines caisses du Crédit Mutuel et du Crédit Coopératif, ont également annoncé des modifications tarifaires, même si l’impact se révèle parfois moins élevé que dans les grandes structures. Les banques en ligne, vantées pour leur compétitivité, ne sont pas en reste : Boursobank, par exemple, a discrètement augmenté certains frais de gestion ou d’options de découvert, afin de maintenir une offre globale équilibrée. Toutefois, ces ajustements restent souvent inférieurs à ceux pratiqués par les acteurs traditionnels.

D’autres établissements, comme la Banque Populaire ou certaines filiales du groupe BPCE, ont opté pour une approche plus progressive, en étalant la hausse des prix sur plusieurs mois. Cette stratégie, tout en limitant l’effet de surprise pour le client, contribue tout de même à une augmentation tarifaire notable à moyen terme. Enfin, même s’il existe encore quelques enseignes qui n’ont pas encore appliquées d’augmentation majeure, les experts anticipent une probable révision de leurs tarifs d’ici la fin de l’année, au vu des pressions économiques et réglementaires.


Comment comparer les frais bancaires ? 

Comparer les frais bancaires est l’étape clé pour trouver la banque la moins chère et éviter de payer des montants exagérés chaque année. La première démarche consiste à consulter un comparateur en ligne, comme Panorabanque ou MoneyVox, qui dresse un bilan détaillé des tarifs de chaque établissement de crédit. Cette comparaison couvre généralement les frais de tenue de compte, le coût annuel des cartes bancaires (Visa ou Mastercard), les commissions de découvert bancaire, ainsi que les frais liés aux virements ou aux retraits hors zone euro. Grâce à ces outils, le consommateur peut rapidement repérer les grandes disparités entre les différentes offres et se faire une idée précise du montant qu’il devrait payer.

Outre les comparateurs, il est recommandé de télécharger les conditions tarifaires (appelées aussi plaquettes tarifaires) disponibles sur le site officiel de chaque banque. Une lecture attentive permet de repérer les éventuels frais supplémentaires, comme les frais de retour NPAI ou le coût d’un virement instantané. En cas de doute, contactez directement un conseiller bancaire reste un bon moyen d’obtenir des informations précises sur son propre profil client et de négocier des avantages ou réductions éventuelles.

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Il est également préférable d’évaluer son utilisation courante de la banque. Par exemple, un client réalisant peu de retraits en distributeur hors réseau n’aura pas les mêmes besoins qu’un gros voyageur payant régulièrement en devises hors zone euro. De même, un consommateur habitué au découvert bancaire pourra rechercher un établissement proposant un taux avantageux ou des conditions de dépassement de plafond plus souples. Enfin, la fréquence des opérations, qu’il s’agisse de virements, de paiements par carte ou de souscription à des assurances, doit être incluse dans la réflexion globale.

Transition : Maintenant que nous savons comment comparer, examens de plus près les différents frais bancaires en 2025.


Quels sont les frais bancaires en 2025 ?

En 2025, les frais bancaires recouvrent un large éventail de services dont le prix varie selon le type de formule ou d’option choisie. De manière générale, on retrouve plusieurs catégories de frais :

  • Frais de tenue de compte : Ils peuvent aller de quelques euros par mois à une somme annuelle plus conséquente, selon l’établissement et la nature du compte (compte courant, compte joint, etc.).
  • Carte bancaire (Visa Classic, Visa Premier, Mastercard, etc.) : Son coût annuel dépend du niveau de gamme de la carte, de l’option de débit (immédiat ou différé) et du profil d’utilisation.
  • Frais de découvert bancaire : Ils incluent souvent un agios calculé sur le montant utilisé et des commissions d’intervention en cas de dépassement du plafond autorisé.
  • Services annexes : Virements instantanés, retraits en distributeur d’une autre banque (DAB), alertes SMS, assurance perte ou vol… Ces services peuvent être inclus dans un forfait (souvent appelé « package bancaire ») ou facturés à l’unité.
  • Frais de retour NPAI : En cas de problème de courrier, certaines banques facturent un montant supplémentaire pour la gestion du dossier.

Selon une étude publiée en février 2025, la hausse généralisée touche surtout les frais de gestion courante et les cartes de paiement. Certaines banques facturent désormais plus de 50 euros par an pour une carte Visa Classic, tandis que les cartes haut de gamme peuvent dépasser les 150 euros annuels. Les tarifs varient toutefois considérablement d’une région à l’autre, et même d’une agence à l’autre pour un même établissement, créant une disparité notable.


Quels frais de tenue de compte en 2025 ? 

Les frais de tenue de compte représentent souvent la première surprise tarifaire pour les consommateurs. En 2025, ces frais sont en nette augmentation dans la plupart des banques, qu’il s’agisse d’un établissement traditionnel ou d’une banque en ligne. Habituellement, ils se situent entre 12 et 30 euros par an, mais peuvent parfois grimper jusqu’à plus de 40 euros, selon l’offre ou le forfait choisi. Cette hausse des tarifs s’explique, entre autres, par l’inflation et le besoin qu’ont les banques de rentabiliser leurs investissements technologiques, comme la mise en place de services numériques et le renforcement de la sécurité des moyens de paiement.

Pour déterminer le montant exact, il convient de se reporter à la plaquette tarifaire de chaque banque. Certaines enseignes proposent un tarif mensuel, d’autres préfèrent une facturation trimestrielle ou annuelle. Il existe également des exceptions : quelques banques continuent d’offrir la gratuité de la tenue de compte sous conditions (par exemple, un minimum de mouvements ou de paiements par carte chaque mois). Les banques en ligne, historiquement pionnières de la gratuité, commencent elles aussi à fabriquer de petits montants, même si leurs tarifs restent souvent inférieurs à ceux des acteurs traditionnels.

Un moyen de limiter ces frais de tenue de compte consiste à passer à une formule groupée de services. Plusieurs établissements proposent un forfait comprenant le compte courant, la carte bancaire et quelques options, à un prix global parfois compétitif. Toutefois, il faut vérifier que l’on utilise réellement tous les services inclus, afin d’éviter de payer pour des options superflues.


Quel est le coût des cartes bancaires ?

En 2025, le coût des cartes bancaires fait partie des postes de dépenses les plus sensibles pour les consommateurs. Les banques en profitent souvent pour augmenter leurs tarifs, notamment sur les cartes haut de gamme comme la Visa Premier ou la Mastercard Gold, qui peuvent dépasser les 150 euros annuels. Cependant, les cartes classiques (Visa Classic ou Mastercard Standard) ne sont pas épargnées, avec une hausse pouvant aller de quelques euros à une dizaine d’euros par an. Cette tendance tarifaire touche aussi bien les banques populaires et coopératives que les établissements de crédit traditionnels (BNP Paribas, Crédit Agricole, Crédit Mutuel) et même certaines banques en ligne autrefois réputées pour la gratuité totale.

Le mode de débit – immédiat ou différé – peut également influer sur le prix. Souvent, une carte à débit différé coûte légèrement plus cher, car elle implique un risque supplémentaire pour la banque. De même, la souscription d’une assurance facultative (assurance perte/vol, garanties voyage, etc.) peut alourdir la facture annuelle. Il est donc primordial de bien définir ses besoins avant de choisir une formule.

Pour comparer les offres, il est recommandé de regarder non seulement le coût de la carte, mais aussi les avantages qui y sont associés : plafonds de retrait et de paiement, assurances, assistances, voire programmes de fidélité. Les banques en ligne proposent parfois des promotions ou des réductions (par exemple, une gratuite la première année) pour attirer de nouveaux clients. Toutefois, les conditions d’obtention (revenu mensuel minimum, domiciliation de salaire, etc.) doivent être vérifiées pour éviter toute mauvaise surprise.


Hausse généralisée dans la plupart des banques en 2025

Depuis le 1er janvier 2025, la hausse généralisée des frais bancaires se confirme dans la quasi-totalité des établissements de crédit. Cette augmentation touche les services de base (tenue de compte, cartes de paiement) et d’autres postes plus spécifiques (frais de découvert bancaire, virement instantané, retrait hors zone euro). Même les banques disent « low cost » ou les banques en ligne, connues pour être la solution la moins chère sur le marché, ont révisé leurs grilles tarifaires à la hausse, quoique dans une moindre mesure. Les principaux facteurs déterminant ce phénomène sont la persistance de l’inflation, la modernisation des systèmes informatiques et la nécessité de couvrir les nouvelles réglementations européennes en matière de sécurité et de protection des données.

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Une étude annuelle réalisée par l’association française CLCV met en lumière que, si la hausse des prix est générale, on observe cependant des disparités d’un établissement à l’autre. Certains établissements de crédit appliquent des majorations plus lourdes que d’autres. Les banques populaires, par exemple, proposent parfois des forfaits regroupant plusieurs services à un tarif compétitif, mais facturant cher le moindre service à l’unité. À l’inverse, une banque comme le Crédit Coopératif peut notamment sembler plus onéreuse sur certains points, tout en offrant des avantages alternatifs pour le client, sur la solidarité ou la démarche environnementale.

Le rapport indique également que la situation économique mondiale, combinée à la digitalisation accumulée du secteur, incite les banques à se repositionner sur leurs offres. Le coût global pour le consommateur pourrait encore augmenter, notamment si l’inflation ne faiblit pas et si les nouvelles technologies (comme l’instantanéité des paiements) entraînent des investissements massifs.


Comment éviter la hausse des frais bancaires ?

Pour éviter de subir de plein fouet la hausse des tarifs bancaires en 2025, plusieurs stratégies s’offrent aux consommateurs. D’abord, il est essentiel de bien comparer les offres et de se tenir informé des évolutions tarifaires. Les associations de consommateurs comme la CLCV ou l’UFC-Que Choisir publient régulièrement des informations permettant de comparer plus facilement les frais de tenue de compte, le coût annuel des cartes bancaires et les commissions de découvert. Consulter un comparateur en ligne (MoneyVox, Panorabanque) reste un moyen rapide de repérer les établissements proposant le meilleur rapport qualité-prix.

Ensuite, adopter un comportement bancaire prudent peut faire la différence :

  • Limiter l’utilisation du découvert bancaire : Les agios et commissions de dépassement peuvent alourdir significativement votre facture.
  • Regrouper ses services : Opter pour un forfait ou une formule groupée peut se révéler moins cher que de souscrire chaque service à l’unité.
  • Dématérialiser : Privilégier les relevés de compte en ligne ou l’envoi de courriers électroniques, pour éviter les frais de retour NPAI ou de gestion postale.
  • Négocier : Dans certaines banques, en particulier la banque de détail, il est possible de négocier les frais ou de bénéficier d’avantages si vous êtes un « gros » client (par exemple, si vous détenez un crédit immobilier ou une épargne conséquente).

Enfin, il ne faut pas hésiter à changer d’établissement si les tarifs deviennent trop élevés. La mobilité bancaire étant facilitée par la loi, il est relativement simple de transférer son compte dans une banque en ligne ou un autre établissement plus performant. Cette concurrence s’accumule pousse parfois les banques à faire des gestes commerciaux pour conserver leurs clients.


Quels impacts de l’inflation sur les frais ?

L’inflation joue un rôle majeur dans l’augmentation des frais bancaires en 2025. Avec la hausse générale des prix et du coût de la vie en zone euro, les établissements de crédit se retrouvent confrontés à des charges plus élevées, notamment pour rémunérer leur personnel, investir dans des technologies de sécurité ou encore s’aligner sur les nouvelles normes européennes de protection des données. Ces dépenses supplémentaires se répercutent inévitablement sur les tarifs facturés aux clients.

En parallèle, l’inflation affecte également les taux d’intérêt, ce qui peut rendre la gestion de la trésorerie plus onéreuse pour les banques. Lorsqu’il y a une remontée des taux, le coût du financement des opérations quotidiennes peut grimper, entraînant une révision des grilles tarifaires. C’est pourquoi l’on observe souvent une augmentation simultanée des frais de tenue de compte, des commissions de découvert bancaire, voire des frais de retrait à l’étranger. Selon une étude du marché réalisée en décembre 2024, le taux d’inflation serait l’un des principaux moteurs de la hausse généralisée des frais bancaires, devant les contraintes réglementaires et l’adaptation aux services numériques.

Pour illustrer la corrélation entre inflation et tarifs bancaires, voici un tableau récapitulatif (exemple fictif) :

AnnéeInflation (zone euro)Augmentation moyenne des frais
20232,5 %+ 2 %
20243,0 %+ 2,5 %
20253,5 %+ 3 %

Ce tableau montre que plus l’inflation progresse, plus l’augmentation tarifaire est forte. Il est donc probable que, si l’inflation se maintient à un niveau élevé, les prix des services de paiement, des cartes bancaires et des forfaits continueront de grimper dans les années à venir.


Quelles sont les banques les plus intéressantes ? 

Même dans un contexte de hausse généralisée, il reste possible de trouver des établissements de crédit proposant des offres compétitives. Les banques en ligne, comme Boursobank ou certaines filiales 100 % internet, affichent souvent des tarifs plus bas que les banques traditionnelles, grâce à des coûts de structure réduits et une gestion principalement numérique. Elles peuvent offrir la gratuité de la carte Visa Classic ou des frais de tenue de compte quasi nuls, sous réserve de respecter certaines conditions (revenu mensuel minimum, nombre de paiements par carte, etc.).

Du côté des banques traditionnelles, il est possible de négocier des réductions si vous domiciliez votre salaire, ouvrez un plan d’épargne ou souscrivez un crédit immobilier. BNP Paribas, Crédit Agricole, ou encore la Banque Populaire proposent parfois des formules « package » comprenant un compte, une carte bancaire, des assurances et même un service de découvert autorisé à un taux préférentiel. Il est alors important de comparer le coût total de ces forfaits par rapport à une offre à la carte.

La banque la moins chère dépend également de votre profil : un petit utilisateur (quelques retraits et paiements mensuels) ne paiera pas les mêmes frais qu’un gros utilisateur effectuant de nombreux virements ou opérations à l’étranger. En outre, la localisation (région, agence) peut créer des écarts tarifaires, certaines banques adaptant leurs prix à la clientèle locale. Les associations de consommateurs et les études annuelles, comme celles de MoneyVox ou de Panorabanque, constituent de bonnes ressources pour identifier les tendances. Leur analyse, associée à votre situation financière personnelle, vous guidera vers la banque la plus adaptée.


Conclusion 


La hausse des tarifs bancaires en 2025 illustre l’impact combiné de l’inflation, des contraintes réglementaires et de la digitalisation accélérée du secteur financier. Qu’il s’agisse de frais de tenue de compte, du coût annuel d’une carte bancaire ou de commissions de découvert, chaque établissement de crédit répercute ses charges sur le consommateur. Toutefois, l’offre bancaire en France demeure variée, avec des banques en ligne et des banques de détail qui rivalisent d’initiatives pour conserver une clientèle exigeante et soucieuse de maîtriser son budget.

Pour faire face à cette hausse généralisée, il convient de comparer attentivement les prix des services bancaires, de privilégier les formules groupées si elles correspondent réellement à vos besoins, et de surveiller régulièrement les évolutions tarifaires. Les associations de consommateurs et les plateformes de comparaison en ligne restent des alliées précieuses pour garder un œil sur les écarts de prix et repérer les nouvelles opportunités du marché. Enfin, il ne faut pas hésiter à envisager la mobilité bancaire si votre banque actuelle devient trop chère ou si vous souhaitez bénéficier d’avantages tarifaires plus intéressants. Dans un contexte économique mouvant, restez vigilant et informé reste la meilleure stratégie pour minimiser les frais et optimiser votre relation avec votre établissement bancaire.

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