Figma Make : l’assistant gratuit de codage par IA accessible en 2025

Figma Make a franchi une étape décisive en 2025 : ce n’est plus une promesse floue, c’est un outil concret intégré à l’écosystème Figma, capable de transformer une idée en prototype fonctionnel voire en application Web en partant de simples prompts ou de designs existants.

Que vous soyez designer, développeur, chef de produit ou membre d’une équipe produit, Figma Make met l’intelligence artificielle au service de la production rapide, cohérente et itérative. Le positionnement est clair : raccourcir la distance entre la pensée et le produit, en gardant la fidélité visuelle et en générant du code utilisable.

Points clés :

• Figma Make permet de transformer des idées en prototypes interactifs ou en applications fonctionnelles via des prompts intelligents et du contexte visuel. 
• L’outil s’appuie sur des modèles avancés comme Claude 3.7 Sonnet et sur l’intégration profonde avec les fichiers de design via des protocoles comme MCP pour une traduction design-to-code riche.
• Accessible à tous, avec des limites selon les niveaux d’abonnement, Figma Make est désormais en disponibilité générale.
• Intégration fluide dans un workflow existant : sélection de frames, enrichissement par design system, ajustements en temps réel et connexion à des backends via Superbase.
• Designers gagnent en rapidité, cohérence et pouvoir d’expérimentation sans attendre une main-d’œuvre dev.

Quels types de projets peut-on réaliser avec Figma Make?

Figma Make n’est pas un gadget, c’est un catalyseur pour des projets variés, allant des petits tests d’interface jusqu’à des applications Web fonctionnelles. 

On peut lancer :

• Des flows d’onboarding personnalisés, avec multitudes d’écrans et états conditionnels générés à partir d’un prompt et d’un design de base.
• Des dashboards de données interactifs, où le design initial est enrichi par des interactions et une logique affichant des données réelles via des connexions (ex. Supabase).
• Des galeries visuelles, éditeurs ou outils de configuration (ex. gradient galeries) qui répondent en temps réel aux modifications de l’utilisateur.
• Des applications Web prototypes « fonctionnelles » que l’on peut tester avec de vrais inputs utilisateurs et des flux d’authentification.
• Des sites responsives (via intégration avec Figma Sites), où un frame devient une page Web ajustable et publiée, en enrichissant avec du code généré par IA.

La force de Figma Make, c’est de ne pas imposer une séparation nette entre l’idée, le design et l’exécution : un designer peut démarrer avec une figma design, glisser un prompt, voir le prototype évoluer, puis ajuster le code généré sans détacher son flux de travail.

Comment intégrer Figma Make dans un workflow?

L’intégration de Figma Make se fait en glissant l’IA dans les étapes existantes sans rupture. Le workflow type ressemble à ceci :

1. Départ d’une idée ou d’un design existant (frame Figma ou image de référence).
2. Prompt your way : on donne une consigne textuelle (ex. « créer un écran de login avec authentification et feedback d’erreur ») en ciblant une frame ou un composant.
3. Enrichissement contextuel : appliquer les règles du design system, tirer du style depuis la bibliothèque visuelle pour garantir la cohérence.
4. Édition et raffinage : modifier directement les sorties générées, changer le texte, remplacer une image, ajuster les espacements.
5. Connexion à des données réelles via Superbase ou API, permettant de transformer le prototype en application testable.
6. Passage vers Dev Mode ou extraction de code : le prototype peut être inspecté, exporté ou continué avec des développeurs grâce à la transparence du design-to-code.

Le protocole MCP (Model Context Protocol) est la couche technique qui permet aux agents IA d’accéder au contexte réel d’un fichier de design : composants, variables, interactivités. Cela élimine le besoin d’interpréter une image statique, et rend la génération de code beaucoup plus fidèle à l’intention.

Gouvernance des sorties IA : fiabiliser ce que Figma Make génère

Pour qu’une idée devienne un produit stable et réel, il faut plus qu’un simple output séduisant : il faut du contrôle. Ce volet de gouvernance capture comment voir, sélectionner, changer et valider chaque écran ou interaction issus de Figma Make avant de les intégrer au workflow. Plutôt que de subir des hallucinations de logique ou des incohérences de copy, on structure une série de checks — labels exacts, états d’erreur attendus, comportements conditionnels, accessibilité, et adéquation aux règles métier — qui s’appliquent automatiquement sur le prototype or web app généré. 

Un designer ou un chef de projet peut, d’un clic, comparer la version précédente du design avec ce que l’IA a transformé, signaler les dérives et réinjecter ces corrections dans le prompt box pour améliorer les prochaines itérations. Cette gouvernance permet de turn ideas into reality sans perdre en rigueur : on garde la souplesse fun de l’exploration IA tout en construisant une confiance mesurable entre design, dev et produit. À placer juste avant la conclusion comme pont vers la mise en œuvre opérationnelle.

Tableau : comparaison rapide des entrées, sorties et étapes clés avec Figma Make

Pipeline design-to-production augmentée avec Figma Make

Le vrai levier, c’est d’apporter Figma Make dans une chaîne de livraison cohérente : pas seulement créer un écran, mais crée avec une traçabilité, du source code exploitable, et une synchronisation avec le design system interne.

On commence with/figma make en couvrant la taxonomie des prompts, en taggant les variantes et en intégrant les existing figma designs dans des branches expérimentales. Chaque prototype devient un artefact versionné (pensé comme une figma slides ou snapshot) avec métadonnées — ce qui permet à la team de see quelle version a servi de base, de select un chemin, et de turn une itération validée en build réel. 

Les hooks automatiques envoient les UI générés vers une pipeline de tests visuels, valident avec des best practices, puis déclenchent le passage en Dev Mode pour que le code soit repris, enrichi et déployé. Ce guide transforme Figma Make en moteur de création facilement intégré à des cycles continus : build faster, garder une version historique intelligente et faire du design-to-code un flux collaboratif et fiable.

Quels sont les avantages de Figma Make?

Cet assistant IA ne vient pas remplacer, il vient accélérer, systématiser, et réduire les frictions entre les rôles. Les bénéfices concrets :

• Gain de temps radical : générer des prototypes ou des écrans interactifs avec des comportements sans écrire une ligne manuellement.
• Réduction des allers-retours design/dev : le code sort avec une compréhension du design via MCP, donc moins d’interprétations et de dérives visuelles.
• Expérimentation rapide : tester plusieurs idées en modifiant les prompts et voir instantanément des versions alternatives. 
• Cohérence visuelle : intégration des bibliothèques de style à chaque génération (design system appliqué automatiquement).
• Accessibilité large : la disponibilité générale permet à presque toute équipe de tâter l’outil, avec une montée en puissance possible via les sièges Full Seat pour usages intensifs.
• Validation de concept : des idées vagues deviennent des prototypes tangibles que l’on peut tester en contexte réel.

Comparer avec des alternatives comme Anima, qui transforme un design en code mais en s’appuyant souvent sur des transformations classiques, Figma Make ajoute une couche conversationnelle et contextuelle (prompt + design + AI + MCP) qui rend le résultat plus ajusté à l’intention initiale.

Mesurer l’impact réel : adoption, ROI et optimisation continue

On parle souvent de “boostez votre créativité” ou de “turn ideas into reality”, mais peu expliquent how quantifier ce que Figma Make bring dans le travail quotidien. Ce volet propose une grille de lecture pour suivre des métriques comme le temps pour créer une fonction prototype, la réduction des allers-retours entre designer et dev, la vitesse de validation des concepts, et la satisfaction des parties prenantes sur un projet. 

En segmentant les utilisateurs — du junior à l’expert inspiré par des approches comme celles de Masaya Takizawa — on identifie qui want quoi, quels prompt ou patterns fonctionnent le best, et on met en place une boucle où le description et le output rétroagissent pour améliorer les prompt templates.

 Des A/B tests internes comparent un workflow classique à un workflow augmenté : on peut voir en chiffres à quel point on convertit une idée en prototype testable, abaisser le barrière de création, et justifier auprès du management la montée en puissance de la plateforme. À insérer après “Pipeline design-to-production” comme quantification pratique.

Comment Figma Make aide-t-il les designers?

Pour un designer, Figma Make fait sauter plusieurs verrous psychologiques et techniques. Plutôt que de décrire en backlog ou en spécification ce que le développeur « devrait » faire, le designer peut :

• Formuler une idée en langage naturel et la voir prendre forme immédiatement.
• Itérer visuellement sans perdre le contexte : modifier un prompt pour changer l’interaction ou la hiérarchie, et observer l’évolution.
• Obtenir un prototype qui parle aux parties prenantes : un mockup interactif vaut mieux que 10 explications verbales.
• Tester des variantes de design system sans reconfigurer manuellement chaque composant.

La collaboration devient plus fluide : l’IA agit comme un coéquipier qui comprend à la fois le design file, la logique du produit, et propose une version exécutable, tout en laissant au designer le contrôle final.

Quelles sont les fonctionnalités de Figma Make?

La liste des capacités est riche, voici les plus saillantes :

• Prompt-to-app : transformer une instruction textuelle en éléments UI, logique et structure de flux.
• Sélection contextuelle : cibler une partie du design (un cadre, un composant) pour que l’IA continue ou complète précisément ce morceau.
• Édition interactive des sorties : réécrire du copy, remplacer des images, ajuster des marges ou remplacer des modules directement dans la sortie IA.
• Connexion à des backends (ex. Supabase) : intégrer des données, authentifications, et tester des flux réels sans code lourd de setup.
• Design system awareness : appliquer et conserver l’identité visuelle en utilisant la bibliothèque Figma du projet.
• Intégration avec Figma Sites : pousser les prototypes vers des pages Web publiables.
• Compatibilité Dev Mode & MCP : extraire du code compréhensible et exploitable par des développeurs avec contexte sémantique riche.

Ces fonctionnalités combinées font de Figma Make un « système » où chaque idée peut être rapidement traduite, testée, raffinée, puis chiffrée en valeur pour le produit.

Comment utiliser Figma Make pour créer des prototypes?

Créer un prototype avec Figma Make, c’est d’abord s’appuyer sur ce que l’on a : une idée, une frame, une image de référence. 

Ensuite :

1. Choisir une base : soit partir d’un existing Figma design, soit créer un cadre vide. 
2. Écrire un prompt clair : par exemple « build a mobile login screen with email validation and error feedback » ou en français « créer un écran d’authentification mobile avec validation d’email et retour d’erreur ». L’IA comprend le contexte visuel et textuel.
3. Affiner la mise en forme : utiliser les règles de design system déjà reliées pour que le prototype respecte les couleurs, typographies et spacing.
4. Ajouter des interactions : demander à Figma Make d’ajouter des transitions, états actifs, ou logiques conditionnelles.
5. Brancher des données : si besoin, connecter Supabase ou une API pour simuler du contenu dynamique.
6. Tester & partager : le prototype est interactif et peut être envoyé à des parties prenantes ou inspecté via Dev Mode pour passage à la production.

Ce flux évite de repartir de zéro à chaque idée et permet de valider rapidement plusieurs directions, en gardant une trace modifiable et partageable.

Cocon sémantique évolutif pour prompts : construire une bibliothèque intelligente

Plutôt que de rédiger un prompt à la volée à chaque fois, on peut add de la structure : créer un cocon sémantique qui catégorise, affine et réutilise les invites dans Figma Make will générer des interactive prototypes plus cohérents et plus rapides. Ce système organise les prompts selon leur fonction (login mobile design, dashboard de données, feedback utilisateur, etc.), trace leurs performances, et propose des variantes automatiques en fonction du contexte — un peu comme notre communauté qui partage ses adaptations mais en interne et personnalisé. 

En travaillant avec ce repository, une team peut start avec une base éprouvée, enchaîner plusieurs sorties avec prompt chaining, transform ideas into designs complexes sans repartir de zéro, puis apporter les ajustements manuels dans une boucle de révision où chaque change enrichit le score du prompt. Le système devient new à chaque itération : il apprend quelles formulations donnent le best output, permet de select any option de style ou d’interaction, et rend la création de prototypes fonctionnels une expérience fluide, collaborative et évolutive. À intégrer dans la section “Comment intégrer Figma Make dans un workflow” comme sous-partie stratégique.

Conclusion

Figma Make, en 2025, n’est plus une promesse d’avenir : c’est une plateforme en disponibilité générale qui greffe des capacités d’IA directement dans le design et la production de prototypes et d’applications. En combinant prompts, contexte visuel, design system, et accès riche aux données de design via MCP, il réduit les frottements habituels entre idée, design et code. Les équipes gagnent en vitesse, en précision et en pouvoir de décision, en transformant des concepts vagues en expériences concrètes testables. Ceux qui l’adoptent intelligemment font passer leur capacité à créer du simple « design » à de vraies expériences digitales fonctionnelles.

FAQ

Figma Make est-il vraiment gratuit ?
L’outil est désormais disponible pour tous les utilisateurs, mais certaines capacités avancées (publication complète, crédits IA illimités) sont liées à des niveaux comme le Full Seat ; les autres peuvent expérimenter dans des brouillons personnels avec des quotas.

Comment commencer un prototype avec Figma Make ?
On commence avec un design ou une frame, on écrit un prompt décrivant ce qu’on veut (ex. comportement, style, interaction), puis on affine les sorties et connecte des données si nécessaire.

Peut-on utiliser Figma Make avec un design existant ?
Oui, vous pouvez importer ou sélectionner un design Figma déjà créé, puis demander à l’IA de le continuer, le rendre interactif, ou le convertir en application avec logique.

Quel est le rôle du MCP dans Figma Make ?
Le Model Context Protocol permet aux agents IA d’accéder au contexte réel du design (composants, variables, comportement), ce qui améliore la qualité du code généré et la fidélité à l’intention.

Figma Make remplace-t-il les développeurs ?
Non, il réunit designers et développeurs autour d’un prototype riche : il accélère les phases d’idéation et de validation, réduit les malentendus, mais la production à grande échelle reste une collaboration, notamment via Dev Mode.

Avec quoi Figma Make s’intègre-t-il ?
Il fonctionne avec Figma Sites pour la publication, Supabase pour les données, Dev Mode/MCP pour la transition vers le code, et les bibliothèques internes pour assurer la cohérence visuelle.